Les Nouvelles Chroniques du jour : ça s'est passé un...24 juillet
Événements
24 juillet 1712 : Victoire inespérée de Villars à Denain Le 24 juillet 1712, le maréchal-duc de Villars remporte à Denain une victoire inespérée sur les Austro-Hollandais commandés par le prince Eugène...
suite de l'article 24 juillet 1911 : Découverte du Machu PicchuLe 24 juillet 1911, l'archéologue américain
Hiram Bingham arrive au sommet d'une montagne, au
Pérou, en compagnie d'un officier péruvien et d'un jeune paysan de la région.
Il aperçoit alors d'énormes murs de maisons en ruines. Il vient de découvrir (ou redécouvrir) les restes de la cité inca du
Machu Picchu...
24 juillet 1923 : Le traité de Lausanne fonde la Turquie moderneLe 24 juillet 1923, le traité de Lausanne entre les Alliés et la Turquie corrige le traité de Sèvres.
Moustafa Kémal, fort de sa victoire sur les Grecs, obtient pour son pays une pleine souveraineté sur les Détroits, Istamboul et son arrière-pays
européen, ainsi que sur l'Arménie occidentale, le Kurdistan occidental et la côte orientale de la mer Égée (Smyrne, Éphèse...)...
suite de l'article 24 juillet 1967 : De Gaulle : « Vive le Québec libre ! »
Le 24 juillet 1967, le
général de Gaulle arrive à
Montréal après avoir emprunté le
« Chemin du Roy » qui relie la ville de Québec à la métropole provinciale. C'est la première visite officielle d'un chef d'État français dans la
« Belle Province ».
![Les Nouvelles Chroniques du jour : ça s'est passé un...24 juillet DeGaulleMontreal](https://2img.net/h/www.herodote.net/Images/DeGaulleMontreal.jpg)
Tout le long du chemin, il a été acclamé par la foule, aux cris de
« Vive le Canada français ! » ou
« Québec libre ! ».
Reçu à l'Hôtel de ville par le maire Jean Drapeau, le président français s'avance de sa propre initiative vers le balcon et s'adresse à la foule qui se presse au pied de l'édifice.
Il conclut son discours par un vibrant :
« Vive Montréal ! Vive le Québec ! Vive le Québec... libre ! Vive le Canada français et vive la France ! ».C'est un encouragement spectaculaire et décisif à la revendication d'autonomie que promeut en particulier l'
Union nationale du Premier ministre québécois Daniel Johnson, à l'origine de l'invitation du président français.
De façon quelque peu abusive, les Canadiens anglophones y voient aussi un appui au mouvement indépendantiste de René Lévesque, lequel échouera à faire triompher le référendum sur l'indépendance en 1980.
C'est sa fête : ChristineChristine de Bolsena, chrétienne comme son nom l'indique, aurait été, selon une légende édifiante, la fille d'un officier du palais impérial, à Rome.
Emprisonnée et persécutée par son père pour son refus d'adorer les dieux païens, elle aurait été finalement exécutée.
Naissances
Simón Bolívar 24 juillet 1783 à Caracas (Venezuela) - 17 décembre 1830 à Santa Marta (Colombie)
Issu d'une riche famille créole du Venezuela, alors colonie espagnole,
Simón Bolívar participe en 1810 à la guerre d’indépendance. Mais il entre bientôt en conflit avec Francisco Miranda, héros de la guerre de libération, qu’il fait arrêter et livre aux Espagnols ! Il devient dictateur et mène une répression brutale... C'est qu'une bonne partie de la population demeure opposée à l'indépendance. Les Espagnols reprennent pied dans le pays.
Bolívar s'enfuit mais revient à la charge l’année suivante avec l'aide intéressée des Anglais. Il libère la Nouvelle-Grenade (aujourd'hui la Colombie), proclame l'avènement d'une
«Grande-Colombie» qui fédère la Nouvelle-Grenade et le Venezuela, puis libère l'Équateur et le Pérou avec l’aide de son lieutenant, Antonio Sucre.
Peu après, la
Colombie entre en guerre contre le
Pérou tandis que le Venezuela s'émancipe et met fin à la Grande-Colombie. C'est l'effondrement du rêve panaméricain de
Bolívar. Malade et abandonné de tous,
Simón Bolívar quitte le pouvoir. Il n’en reste pas moins le plus grand héros national de l'Amérique hispanique, au point de n'être plus connu que sous le surnom d
e «Libertador» (le
«Libérateur») et d'avoir donné son nom à un pays andin, la
Bolivie.Voir : Le «Libertador» amerAlexandre Dumas 24 juillet 1802 à Villers-Cotterêts - 5 décembre 1870 à Dieppe Alexandre Dumas est le fils d'un général d'Empire et le petit-fils d'une esclave africaine et d'un aristocrate normand. Il compte parmi les romanciers français les plus populaires et les plus souvent adaptés au cinéma.
Voir : Le romancier de l'Histoire
Décès
Léon Joseph Cardijn 18 novembre 1882 à Schaerbeek (Belgique) - 24 juillet 1967 à Louvain (Belgique)
Fils d'un charbonnier flamand,
Léon Joseph Cardijn, devenu prêtre, forme un groupe de jeunes ouvriers chrétiens dans sa paroisse des environs de Bruxelles. En 1924, dans le droit fil de l'encyclique
Rerum Novarum, il crée la Jeunesse Ouvrière Catholique (JOC), appelée à un grand rayonnement international tout au long du XXe siècle.
Source : Herodote.net